Usurpation d’identité : mon coup de gueule contre une inaction incompréhensible face à une fraude massive

Cet article vise à dénoncer une passivité intolérable qui me place face à un profond sentiment d’impuissance.

Une campagne de fraude numérique sophistiquée

Depuis le 12 mai, ma société b-Sharpe SA, moi-même ainsi que plusieurs institutions financières suisses sommes victimes d’une campagne d’usurpation d’identité particulièrement sophistiquée.

Cette fraude nuit gravement à ma réputation, à celle de mon entreprise, et pire encore, des personnes crédules se font arnaquer par des escrocs en toute impunité, pendant que personne ne bouge le petit doigt.

Les fraudeurs utilisent des deepfakes, falsifient des logos officiels (FINMA, banques suisses, b-Sharpe) et créent de faux sites d’investissement très crédibles.

Cette escroquerie, bien orchestrée, rappelle des campagnes similaires qui frappent des personnalités médiatiques en Europe et au Royaume-Uni. Le schéma est le même, mais distinct de celui dont je suis victime.

Des preuves solides, des signalements répétés, mais rien ne bouge

J’ai transmis toutes les preuves possibles : URLs, vidéos deepfake, captures d’écran, aux autorités compétentes : Police cantonale genevoise, Office fédéral de la cybersécurité et à Meta.

Meta, de son côté, refuse de retirer ces contenus frauduleux, se cachant derrière une interprétation ultra restrictive de ses propres règles.

Du côté des autorités, malgré ma volonté de collaborer pleinement, aucun inspecteur ne m’a jamais contacté, et aucune enquête visible n’est lancée.

Avec les outils modernes dont disposent ces institutions, et toutes les preuves que j’ai fournies, je ne comprends pas qu’après presque deux mois, on reste figé dans un immobilisme incompréhensible.

Une contradiction flagrante dans la lutte contre la fraude

Alors que les autorités disposent de moyens techniques très avancés pour traquer le blanchiment d’argent, la chasse aux fraudeurs en ligne semble à l’arrêt.

On cherche souvent des poux à des personnes « au-dessus de tout soupçon », alors que ici, alors que les indices sont nombreux, personne ne les exploite pour remonter la filière.

Le rôle problématique de Meta

Meta profite financièrement de ces publicités mensongères. Pourtant, la plateforme refuse d’agir vite, laissant l’arnaque se propager à grande échelle.

Cette passivité porte un coup sévère à la confiance des utilisateurs et laisse les victimes livrées à elles-mêmes.

Ce que j’exige

• Que la police utilise tous les moyens techniques pour identifier les coupables et démanteler ces réseaux frauduleux.
• Que Meta bloque immédiatement tous les contenus manipulés et frauduleux que je leur ai signalé.
• Que les autorités fédérales renforcent la pression sur les plateformes pour assurer la protection des citoyens.

Mon engagement

Cette situation est inacceptable.

Je continuerai à alerter, documenter et à faire pression jusqu’à ce que cette fraude soit stoppée.

La sécurité et la confiance doivent toujours primer sur la passivité et les intérêts financiers.

Ce que je vous demande

Si vous êtes vous-même confronté à ce type d’arnaque, ou si vous connaissez quelqu’un dans ce cas, ne baissez pas les bras. Signalez, partagez, alertez !

Plus nous serons nombreux à dénoncer ces fraudes, plus nous mettrons la pression sur ceux qui ont le pouvoir d’agir. 

Je vous invite donc à partager cet article, à réagir, et à me contacter si vous souhaitez échanger ou collaborer sur ce sujet. La vigilance collective est notre meilleure arme contre ces escrocs.